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Pourpre etc..

Le Paris-Granville, en particulier à l’heure où le soleil n’en finit pas de se coucher, offre une variété de paysages – presque de tableaux – qui donne envie de s’offrir le trajet en voiture, le long de la voie de chemin de fer. Un petit voyage de plusieurs jours, le temps d’attraper les lumières du matin et du soir sur les bottes de foin, les rangées d’arbres, les lisières de petits bois et tout ce que qu’on peut croiser de beau derrière la vitre. Mettre, en quelque sorte, le paysage en mode pause.

En attendant, on peut aussi saisir au vol quelques images, le téléphone collé contre la vitre, depuis le siège côté couloir. Et de temps en temps, presque toujours par hasard, on arrive à glaner des couleurs.

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