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C’est toujours un peu décevant, ces visites « toutes faites » : tour de la ville en autocar, dîner en bateau-mouche… ça a généralement un vilain goût de je ne sais pas quoi. Un goût de fake (pardon papa, je sais que je ne dois pas faire d’anglicisme: un goût de de contrefaçon), vous ne trouvez pas?
Je n’ai décidément pas fini de jouer les groupies quand il s’agit de Londres et de ses environs. C’est très simple, partout où nous sommes passés, je m’exclamais avec des yeux remplis d’amour que j’avais enfin trouvé le lieu où je veux vivre depuis toujours. Tout cela en roulant des œillades pleines de promesses torrides
Je n’aime pas me préoccuper des affaires météorologiques. C’est tout de même le temps – relativement clément même si nous n’avons pas échappé à quelques gouttes – qui nous a décidé hier à commencer notre petit séjour par la visite de Camden, à peine débarqués du train. Comme toujours à Londres, j’y ai retrouvé cette
Eh oui. Londres. Encore. Mais cette fois, il s’agit d’une escapade juste pour le plaisir, quelques jours de vacances dans les brumes fraîches de cette ville dont je ne me lasse pas. Depuis le temps que les billets sont réservés, j’ai peine à croire que nous partons enfin! Nous avions un programme chargé en promenades
Je suis anglaise. Je veux dire… tout à l’intérieur de moi, je suis anglaise. Britannique plus exactement parce qu’en réalité, je fais feu de tout bois : j’adore l’Angleterre, mais aussi l’Ecosse et plus que tout, les îles anglo-normandes. J’ai fait jurer à mon mari que si un jour on gagnait au loto on irait
