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L’orgue de Barbarie

Un orgue de Barbarie. C’est cette petite musique à demi terrifiante de La cité des enfants perdus qui vient chercher la poésie exactement où elle se cache en vous. Ce sont les sons éthérés et lointains d’une fête foraine idéalisée, de celles qui n’existent nulle part ailleurs que dans nos imaginations et qui font que

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La maison de vacances

Face à la mer, elle poursuit depuis des décennies une conversation muette avec l’archipel des îles Chausey qu’elle regarde sans ciller au fond des yeux. Plantée dans le sable et la dune, cette maison-là, qui a vu passer plusieurs générations de vie, accueille chaque année la famille, les amis, les amis des amis, les voisins

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Comme un poisson dans le ciel

Le ciel tient ses promesses. L’azur de normandie est un miracle avec ses nuages qui, portés par des vents infatigables, se transforment à une allure diabolique comme de la pâte à modeler sous les doigts d’un enfant. Je repense toujours au duel de Merlin contre Madame Mim, lorsqu’à demi endormie sur la plage, je contemple

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1973, un jour d’été

J’ai des musiques pour tout. Des chansons pour me réveiller, des pour aller courir et d’autres pour danser, chanter avec une brosse à cheveux devant mon miroir, écouter les confidences d’une amie, rêvasser (bien que que je préfère m’adonner à mon activité favorite en silence), broyer du noir ou voir la vie en rose. D’autres

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Juste sous les nuages

À la fête foraine, je suis celle pour qui ça ne va jamais assez vite, jamais assez haut ni assez fort. J’aime avoir l’estomac qui chatouille et de gentilles peurs au creux du plexus solaire. Avoir le cœur bien accroché permet de profiter pleinement de l’instant sans s’inquiéter d’éventuelles conséquences peu appétissantes. Pourtant, après avoir

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La jolie fourmilière

Il y avait un château rose et bleu dont les pointes dorées s’accordaient parfaitement avec les rayons du soleil. Quelques nuages parce que les ciels ne sont jamais plus beaux qu’émaillés de ces flocons géants, hachés comme les lambeaux qu’on arrache sur les barbe-à-papa. Il y avait les enfants déguisés dans de vilains costumes bas

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