journal
[imagebrowser=126] Il a suffit de quelques jours pour que le froid s’installe et que les discussions des gens, dans la rue s’embuent de quelques poignées de nuages miniatures accrochés à leur lèvres. Pour qu’un matin, sans prévenir, des idées de Noël, de neige et de soirées au chaud calé au fond d’un canapé viennent nous
Soyons clairs, si j’aime leurs jolis macarons colorés aux saveurs marrantes (miam la Rose et le Jasmin, re-miam la Fleur d’oranger, le caramel au beurre salé), si j’aime le premier étage de la rue Bonaparte avec ses plants de bruyère accrochés aux fenêtres et quelques unes de leurs préparations salées. Si j’aime l’atmosphère artificiellement désuète
Pendant longtemps, je n’ai pas aimé les figues. D’abord, ce n’était pas un fruit qu’on trouvait sur les tables bretonne ou normande de ma famille. Et j’avais lu quelque part que ce fruit n’était bon que lorsqu’il atteignait la limite de la pourriture. Or s’il y a une chose qui m’horrifie, ce sont bien les
Juste en passant, voici quelques photos prises en deux temps trois mouvements depuis la fenêtre de mon bureau. J’ai la chance de profiter chaque soir du crépuscule et tout au long de la journée, de pouvoir contempler à loisir la marche des nuages. Profiter constamment de l’humeur du ciel. Et je peux vous dire que
[imagebrowser=107] Les tableaux en papier découpés, les livres en relief, les cartes qui déploient un petit monde bien debout sur ses pieds lorsqu’on les ouvre, tout ce travail me fascine. Peut-être connaissez-vous déjà le travail fantastique de Peter Callesen qui, en la matière, fait des merveilles. Il m’arrive souvent de me replonger dans les photos
:coeur Oui bon, j’avoue : je suis toute fière. Je l’ai enfin entre les mains, le premier exemplaire de « Maman, il faut que je te dise » ! C’est toujours un moment particulier lorsqu’on tient dans ses mains le livre finalisé. Qu’on le feuillette avec l’impression que ce n’est pas vraiment notre travail. Il sort la
